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La spécification WebAssembly Core est désormais un standard web officiel !
Après HTML, CSS et JS, WebAssembly devient le 4e langage pour le Web permettant au code de s'exécuter dans le navigateur

Le , par Stéphane le calme

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Google, Microsoft et Mozilla proposent une démonstration fonctionnelle de WebAssembly dans leurs navigateurs,
le projet ambitionne de devenir le code binaire du web

Mise à jour du 02 / 11 / 2016 : WebAssembly a atteint le milestone Browser Preview

Google, Mozilla et Microsoft ont annoncé la disponibilité d’une WebAssembly Browser Preview. Cette étape marque entre autres :
  • une RC pour le design MVP (terme qui désigne la plus petite entité productible, utilisable et vendable dans le domaine informatique) qui inclut notamment la sémantique, le format binaire et l'API JS ;
  • des implémentations compatibles et stables de WebAssembly dans V8 et SpiderMonkey, dans les builds de développement de Chakra et en progression dans JavaScriptCore ;
  • une chaîne d'outils de travail pour les développeurs qui veulent compiler des modules WebAssembly à partir de fichiers sources C / C ++ ;

La WebAssembly Community Group l’intention d’annoncer des spécifications officielles au premier trimestre de 2017 et les éditeurs de navigateurs seront alors encouragés à rendre WebAssembly disponible par défaut. Une feuille de route est d’ailleurs disponible

Source : blog Google, feuille de route WebAssembly

Apple, Google, Microsoft et Mozilla ont rendu disponible une préversion du support du projet WebAssembly sur leurs navigateurs web respectifs qui ambitionne de devenir le code binaire du web. Soutenu par le W3C, ce projet ambitionne de simuler un processeur virtuel, capable d’exécuter des programmes à une vitesse proche du code natif. Il faut préciser qu’il ne part pas de zéro, puisqu’il reprend les principes d’asm.js, une technologie qui sert à booster la capacité de traitement des applications web.

Dans une démo AngryBots,une adaptation d’un jeu Unity,les éditeurs ont apporté les premières démonstrations fonctionnelles.

« Je suis heureux de vous annoncer que WebAssembly a atteint une étape importante : il y a désormais de multiples implémentations expérimentales dans les navigateurs, toutes sont interopérables », s’est félicité Luke Wagner, un ingénieur travaillant pour le compte de Mozilla. « Nous avons encore beaucoup de travail à faire sur l’implémentation de ce standard avant qu’il ne soit livré, mais nous avons là une bonne occasion de présenter l’étendue de nos progrès, parler de ce qui arrive par la suite et attendre les retours », a-t-il poursuivi.

Chez Microsoft, c’est Limin Zhu, le responsable programme Chakra, qui s’est exprimé. Après avoir présenté une démo d’AngryBots sur le navigateur Edge qui se sert du support préliminaire de WebAssembly dans le moteur Chakra, il a avancé « qu’en dépit de leur statut précoce, la démo démarre beaucoup plus rapidement qu’en utilisant uniquement asm.js, puisque les binaires WebAssembly ont une taille de fichier réduite et sont parsés plus rapidement que du JavaScript ordinaire ».


« Avec ChakraCore qui est désormais open source, nous avons développé notre implémentation de WebAssembly entièrement en open source dans la branche WebAssembly de notre dépôt ChakraCore », a noté Zhu. « Sous le capot, notre implémentation est en mesure de réutiliser la plupart des infrastructures existantes d’asm.js. Le code WebAssembly va dans les mêmes pipelines que le code asm.js après avoir été parsé », a-t-il continué.

Du côté de chez Google, l’entreprise apporte un support expérimental à WebAssembly sur son moteur KavaScript V8. Seth Thomson, le responsable du côté de Google, a fait comprendre que « sous le capot, la prise en charge de WebAssembly dans V8 a été pensée pour réutiliser au plus l’infrastructure de la machine virtuelle JavaScript existante, en particulier le compilateur TurboFan ». « Un décodeur WebAssembly spécialisé valide les modules en vérifiant les types, les indices de variables locales, les références de fonctions, les valeurs de retour et la structure du contrôle de flux en une seule passe », a-t-il continué.

« En tant qu’évolution des technologies existantes, WebAssembly est profondément intégré à la plateforme web, permettant d’accélérer aussi bien les téléchargements sur le réseau et les instances qu’asm.js, un sous-ensemble de bas niveau de JavaScript ».

« L’équipe V8/WebAssembly espère continuer sa collaboration avec les autres éditeurs de navigateurs ainsi que la grande communauté tandis que nous travaillons sur la publication d’un environnement d’exécution stable », a indiqué Thomson.

« Nous prévoyons également plusieurs fonctionnalités pour le futur (notamment le multithreading, le dynamic linking et une intégration au DOM et au ramasse-miettes) et de continuer le développement des toolchains pour la compilation C, C++ et d’autres langages, via le backend WebAssembly LLVM et Emscripten ».

Mozilla, pour sa part, a l’intention d’ajouter le support de WebAssembly dans les outils développeurs de Firefox, parmi lesquels le débogueur et le profileur, et envisage de travailler également sur une réduction du temps de chargement à froid et préparer un lot complet d’opérateurs. Luke Wagner, qui travaille également au W3C, indique que ce dernier suit le développement de près en vue de standardiser l’ensemble.

Source : blog Windows, V8 Project, Hacks Mozilla

Voir aussi :

Microsoft Edge trois fois plus rapide que IE 11 grâce à Asm.js le navigateur offrira plus de sécurité

Windows 10 : Microsoft intégrera à Chakra le support d'Asm.js, le module de Mozilla permettant à JavaScript d'avoir des performances proches du natif

asm.js s'approche des performances du code natif C/C++, Mozilla optimise son sous-ensemble de JavaScript
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Avatar de Zefling
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 08/12/2019 à 9:47
Citation Envoyé par matthius Voir le message
Ça m'a affolé qu'on puisse exécuter du Javascript avec un navigateur. Peu d'informaticiens arrivent à déchiffrer l'asm.
Moi ça m'affole pas plus que ça. J'étais plus affolé par ActiveX où l'on pouvait faire des actions hors du navigateur. JS et Wasm sont cloisonnés à une page de navigateur. Puis aujourd'hui faire un site sans ça c'est compliqué ou fait tout faire à l'ancienne.

Et je te mets au défit de déchirer ce code JS : https://js1k.com/2019-x/details/4130
Pas besoin de faire de l'asm pour rendre un code illisible.
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Avatar de matthius
Inactif https://www.developpez.com
Le 07/12/2019 à 10:08
Il faudra vérifier chaque lien et surtout le code source du processeur déclenché derrière. Je préfère me passer d'Intel pour avoir du Atom dans ce cas là.

Ça m'a affolé qu'on puisse exécuter du Javascript avec un navigateur. Peu d'informaticiens arrivent à déchiffrer l'asm.

Qu'est-ce que implémentations de langage portables ?
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