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Le projet de loi américain sur la sécurité des enfants en ligne pourrait renforcer la surveillance numérique et réduire l'accès aux services chiffrés,
Mais il vient d'être adopté par le Sénat

Le , par Mathis Lucas

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Le Congrès américain est très proche de l'adoption des deux projets de loi controversés visant prétendument à protéger les enfants sur Internet. La commission du commerce du Sénat a voté jeudi en faveur de deux projets de loi sur la protection de la vie privée et la sécurité des enfants qui ont suscité une tempête de critiques de la part des groupes de défense des libertés civiles qui estiment que ces projets de loi feront plus de mal que de bien aux enfants sur Internet. Les experts avertissent également que ces deux projets de loi rendront l'écosystème Internet moins sûr pour les enfants en renforçant la surveillance numérique et en réduisant l'accès aux services chiffrés.

Les projets de loi - Kids Online Safety Act (KOSA) et COPPA 2.0 - ont été approuvés par la commission sénatoriale du commerce jeudi, par un vote unanime. Ces deux textes visent prétendument à lutter contre la crise de santé mentale qui frappe les jeunes dans le pays et que certains législateurs accusent les médias sociaux d'avoir intensifiée. Cependant, les détracteurs de ces projets de loi affirment depuis longtemps qu'ils pourraient causer plus de mal que de bien, en obligeant par exemple les plateformes numériques de médias sociaux à collecter davantage d'informations sur les utilisateurs afin d'appliquer correctement les nouvelles règles du Congrès.

La loi KOSA est censée établir une nouvelle norme juridique pour la Commission fédérale du commerce (FTC) et les procureurs généraux des États, leur permettant de sanctionner les entreprises qui ne parviennent pas à empêcher les enfants de voir des contenus préjudiciables sur leurs plateformes. Les auteurs des projets de loi, les sénateurs Marsha Blackburn (R-TN) et Richard Blumenthal (D-CT), affirment que les projets de loi empêchent les enfants de voir des contenus qui glorifient les troubles de l'alimentation, les pensées suicidaires, la toxicomanie et les jeux d'argent. Selon eux, "ces projets de loi mettent les enfants à l'abri des dangers d'Internet".


Le projet de loi KOSA interdirait également aux enfants de 13 ans et moins d'utiliser les médias sociaux et exigerait des entreprises qu'elles obtiennent le consentement des parents avant d'autoriser les enfants de moins de 17 ans à utiliser leurs plateformes. La loi KOSA prévoit une protection explicite pour les services de soutien tels que les lignes téléphoniques d'aide contre le suicide, les écoles et les logiciels éducatifs. Un amendement au projet de loi approuvé jeudi exigerait des entreprises qu'elles fassent preuve de transparence lorsqu'elles filtrent des contenus à l'aide d'un algorithme et qu'elles donnent aux utilisateurs la possibilité de se désengager.

Cela dit, les groupes de défense des droits numériques affirment que dans sa forme actuelle, le projet de loi KOSA ne résout pas le problème contre lequel il était censé lutter. « Cela n'a aucun sens si la nature même du projet de loi exige que les services en ligne traitent les mineurs différemment des utilisateurs adultes. Pour ce faire, les plateformes et les services numériques devraient connaître l'âge de leurs utilisateurs, qu'ils soient adultes ou enfants. Le projet de loi part du principe que ce qui est bon pour certains enfants est bon pour tous les enfants », a déclaré Aliya Bhatia, analyste politique au Centre pour la démocratie et la technologie (CDDG).

Selon Bhatia, le projet de loi KOSA impose aux plateformes un devoir de diligence très large en matière de modération des contenus préjudiciables aux enfants. Cela pourrait inciter les plateformes à adopter une "politique de tolérance zéro" et à modérer potentiellement les contenus non préjudiciables dans le processus. Elle ajoute que le problème réside en partie dans le fait que les plateformes utilisent des outils de modération de contenu qui ont du mal à analyser un sens précis. Par exemple, les plateformes pourraient supprimer des contenus éducatifs sur les troubles de l'alimentation en même temps que des contenus qui en font la promotion.

« La façon dont les gens s'expriment est tellement sophistiquée et la façon dont ces outils fonctionnent ne l'est pas », Bhatia. Les critiques estiment que le projet de loi KOSA pourrait être politisé par les procureurs généraux des États, ce qui entraînerait le retrait de contenus sur les LGBTQIA+ et la santé génésique dans des États où ces informations sont déjà censurées dans les écoles et par d'autres moyens. Il pourrait empêcher les adolescents LGBTQIA+ de trouver les ressources dont ils ont besoin en ligne sans faire leur coming-out auprès de leurs parents, en raison des exigences du projet de loi en matière de consentement parental.

Les critiques estiment également que le projet de loi KOSA pourrait saper le chiffrement en exigeant des entreprises qu'elles contrôlent les comportements illicites que les utilisateurs pourraient adopter avec leurs produits et services. Le projet de loi COPPA 2.0, qui porte l'âge de protection de la loi à 16 ans, pourrait aussi obliger les entreprises à vérifier de manière plus proactive l'âge des utilisateurs. Les normes COPPA actuelles s'appliquent aux sites Web destinés aux enfants, mais l'inclusion des adolescents implique une nouvelle gamme de services. Selon les critiques, les sites Web conçus pour les adolescents sont généralement accessibles aux adultes.

« Il est difficile de se contenter de relever l'âge de la COPPA, car il est difficile d'imaginer un site Web destiné aux adolescents qui ne soit pas également destiné aux adultes. Lorsqu'il existe une obligation affirmative d'appliquer des protections aux adolescents, il faut s'atteler à la tâche de déterminer qui est un adolescent et qui est un adulte », a déclaré Bailey Sanchez, conseiller principal au sein de l'équipe Youth & Education Privacy du Future of Privacy Forum. La présidente de la commission, Maria Cantwell (D-WA), a déclaré au début de la séance jeudi que la commission entendait continuer à travailler avec les détracteurs de la loi sur ces questions.

NetChoice, un groupe technologique qui est opposé aux projets de loi KOSA et COPPA 2.0, a exhorté les législateurs à adopter un projet de loi fédéral sur la protection de la vie privée et à investir davantage dans les efforts d'application de la loi contre les abus et l'exploitation des enfants. « S'ils sont adoptés, les projets de loi KOSA et COPPA 2.0 créeront d'énormes problèmes de confidentialité et de sécurité pour les familles américaines », a déclaré Carl Szabo, vice-président et conseiller général de NetChoice, dans un communiqué. Il a suggéré que la protection des enfants en ligne soit laissée aux soins des parents et des tuteurs légaux.

« Lorsqu'il s'agit de déterminer la meilleure façon d'aider les enfants et les adolescents à utiliser Internet, ce sont les parents et les tuteurs qui devraient prendre ces décisions, et non le gouvernement. Plutôt que de violer les droits à la liberté d'expression et de confier l'éducation des enfants à des bureaucrates, nous devrions donner aux forces de l'ordre les ressources nécessaires pour faire leur travail et arrêter et condamner les mauvais acteurs qui commettent des délits en ligne contre les enfants », a déclaré Szabo. Certains partisans des projets de loi KOSA et COPPA 2.0 ont exprimé leur satisfaction après le vote du Sénat américain.

« Ensemble, les projets de loi KOSA et COPPA 2.0 contribueront à créer l'Internet que tous les jeunes méritent - un Internet qui respecte leur vie privée et leur autonomie et qui leur permet d'apprendre, de jouer et de se connecter en toute sécurité. Nous sommes impatients de travailler avec les membres des deux partis et des deux chambres à l'automne pour faire aboutir cette législation essentielle. Les enfants et les familles ne peuvent tout simplement plus attendre le Congrès », a déclaré Josh Golin, directeur exécutif du groupe de défense de la sécurité des enfants Fairplay, dans un communiqué.

Sources : Kids Online Safety Act, COPPA 2.0 (PDF)

Et vous ?

Quel est votre avis sur le sujet ?
Que pensez-vous des projets de loi américains KOSA et COPPA 2.0 ?
Les avantages de ces deux projets de loi l'emportent-ils sur leurs inconvénients ?
Selon vous, les projets de loi sur la protection des enfants en ligne seront-ils efficaces ?
À votre avis, qu'est-ce qui explique la multiplication de ces projets de loi à travers le monde ?

Voir aussi

Des dizaines d'organisations s'opposent au projet sur la sécurité en ligne des enfants. Selon eux, il ne contribuerait pas réellement à faire d'Internet un meilleur endroit pour les enfants

Le président des États-Unis veut interdire la publicité destinée aux enfants sur Facebook, Tiktok et d'autres plateformes

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Avatar de lsbkf
Membre actif https://www.developpez.com
Le 08/09/2023 à 12:10
Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
La dysphorie de genre est toujours une maladie mentale, quand on écoutes ceux qui en sont atteint et qui prétendent qu'on peut se faire couper la queue le mardi pour devenir une femme, et redevenir un homme la semaine suivant sans doute en se faisant greffer une cote entre les cuisses.
Ces gens là ont l'intelligence d'enfants de 3 ans, ils ont eu un pet au casque au moment de la présexualisation et le mieux qu'on puisse leur proposer est un psychothérapie ou des électrochocs.
C'est incroyable qu'on puisse appeler à la torture sur des gens qui ont fait du mal à personne, se faire upvote, et que la modération s'en touche la nouille. Ce n'est même plus une question de liberté d'expression, la torture des transgenres c'est quelque chose qui arrive encore aujourd'hui en France. Et après on nous dit qu'on en fait des caisses et que c'est les LGBT+ qui sont extrémistes. Comment voulez-vous débattre sereinement dans cet environnement ?
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Avatar de Jules34
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 05/09/2023 à 10:58
Citation Envoyé par totozor Voir le message
A quelle point cette affirmation est fausse?
Oui, la dysphorie de genre nuit à la santé mentale des mineurs que ce soit un jeune qui veut de/retransitionner ou qui veut transitionner.
Oui, se rendre compte qu'on a fait un transition et qu'on veut faire machine arrière peut être mentalement compliqué.
Non, ce n'est pas si compliqué que ça, on sait que le chemin peut être fait, on l'a déjà fait.
Quelle ignorance du sujet!
La dysphorie de genre était une maladie mentale jusqu'en 2019. Qu'on en fasse l'éloge aujourd'hui ne me surprend pas, tant la société de consommation veut vous persuader que tout est possible, tant que vous consommez quelque chose. La quête de soi, de qui on est, l'acceptation de soi, qui est le combat d'une vie pour chacun d'entre nous ne passe par la médecine, mais vous semblez être ultra militant alors je ne vais même pas m'aventurer plus en avant dans cette discussion.

Citation Envoyé par totozor Voir le message
Les jeunes ont justement l'occasion de transitionner ou préparer une transition qui limitera les opérations à subir (je suppose que c'est de ça qu'elle parle quand elle parle d'endommager de façon permanente son corps).
La transition permet, dans pas mal de cas, de devenir ce que l'on veut être. Combien de personne transgenre, le revendiquent publiquement et pourraient passer inaperçues si elles le voulaient?
C'est pas du tout ce que disent les statistiques sur le suicide chez les adolescents/adultes qui ont joués à ce petit jeu. Mais j'imagine qu'encore une fois ce comportement n'est pas le fait de celui qui le met en place mais bien sûr, encore et toujours, la faute des autres .

Pis bon, si on me retire un Rein j'en aurais plus qu'un et j'aurais une grosse cicatrice. Cette croyance en les progrès de la médecine, que ce soit d'un point de vue chirurgical ou des cachetons qui "minimiseront" une future opération (non mais vous vous rendez compte ?), en dit plus long sur les tenants de ce mouvement que le reste. Non seulement c'est ridicule et permanent, mais en plus ça passe par la chirurgie et prendre des hormones. Dire que c'est anodin la c'est carrément malhonnête. Par contre j'aurais une clinique, je me dirais effectivement, y'a du potentiel en $$$....

La clé, c'est pas de devenir ce que l'on veut être, c'est de devenir qui l'on est, en l'acceptant, et c'est largement différent.

No offense.
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Avatar de Lcf.vs
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 06/09/2023 à 5:19
Waouh, les gars, c'est toujours épatant de voir des gens, comme vous, argumenter avec une telle violence de propos et un tel jugement sans rien connaitre au sujet.

La dysphorie de genre n'est pas une maladie mentale

Depuis 2013, l'APA insiste sur le fait que « la non-conformité de genre elle-même n'est pas un trouble mental. La dysphorie de genre est caractérisée par la présence associée d'une souffrance clinique significative. »

Confusion entre transgenrisme et transition

Être une personne transgenre, ça n'implique pas forcément de transitionner.

Que l'on transitionne ou pas, on en est pas moins une personne transgenre, si on souffre de dysphorie de genre...

Transitionner, ce n'est pas forcément ce que vous croyez

« La transition est un ensemble de démarches qu'il est possible de faire pour modifier soit son genre social, soit son apparence physique, soit son état civil, ou bien une combinaison de ces éléments, voire tous ces éléments. Aucune de ces démarches n'est obligatoire.

Pour certaines personnes transgenres, la transition peut donc strictement se limiter au fait d'assumer sa réelle identité de genre, plutôt que celle assignée à la naissance, sans qu'aucun des éléments précités n'ait été modifié.

Le taux de personnes transgenres parmi la population

Plein de personnes, aussi, ne transitionneront jamais, juste par peur de tout ce que ça impliquerait dans leur vie, parce qu'il y a d'autres priorités, parce qu'il leur est parfois juste plus facile de faire comme si de rien n'était, quitte à en souffrir, ...

Donc, entre ces personnes-là, celles dont la transition n'a rien de visible, ... au final, vous en connaissez sans doute bien plus que ce que vous pensez !

On ne devient pas une femme ou un homme par la transition

Aucune personne transgenre saine d'esprit et suffisamment informée sur le sujet n'affirmera le devenir !

Quels que soient les changements opérés pendant la transition, s'il y en a, ils ne servent qu'à modifier l'expression de genre et l'apparence d'une personne transgenre pour la faire correspondre avec son identité de genre... afin d'aider à y trouver son propre équilibre psychologique, tout comme le font des personnes cisgenres aussi, que ce soit par leur style vestimentaire, leur attitude, de la chirurgie esthétique, qu'elle soit de "complaisance" ou réparatrice.

Étrangement, quand une personne cisgenre se fait mettre des implants, se fait injecter des toxines, ... à des fins purement esthétiques, ça semble choquer bien moins de monde.

La transition, une question d'intérêts financiers ?

On sait qu'environ 50% des personnes transgenres qui transitionnent... le font hors parcours médicalisé, pour diverses raisons.

Ce n'est évidemment pas recommandé, puisque ça peut impliquer de la prise de produits douteux et/ou de n'avoir la sécurité d'un suivi de tolérance que peut en avoir son corps (surdosages, etc.)... Néanmoins, cette pratique fait partie de la réalité de terrain et n'en fonctionne pas forcément moins bien... mais encore faut-il que les personnes en soient suffisamment informées, plutôt qu'elles ne fassent vraiment n'importe quoi et mettent leur vie en danger.

Du coup, quand on sait que ces produits du marché parallèle sont, en réalité, des produits du quotidien de plein de personnes cisgenres... en fait, ces personnes hors parcours médicalisé sont simplement sur le marché pharma correspondant à leur identité de genre, plutôt qu'au marché pharma de leur genre assigné à la naissance.

Financièrement, c'est donc en balance neutre ! Idem pour les opérations esthétiques et autres, puisque les personnes cisgenres en font aussi.

Pourquoi certaines personnes détransitionnent ?

Alors, c'est un fait, il y a des personnes qui détransitionnent... il y a diverses raisons potentielles à cela :
  • Certaines personnes n'ont pas eu un bon accompagnement psychologique préalable (d'autant plus si hors parcours)
  • Elles ont pu vouloir aller au-delà, dans les changements de transition, de leur propre besoin psychologique (souvent par influences externes, même réellement bienveillantes)
  • Ou tout simplement, parce que les dysphories de genre peuvent aussi évoluer au cours d'une vie
  • ...


Les personnes transgenres et le suicide

Tristement, oui, on sait que pas mal de personnes transgenres se suicident... MAIS !

Si vous lisez correctement la page dédiée sur Wikipedia, citée précédemment, vous remarquerez plusieurs choses importantes :
  • Ces statistiques prennent en compte toutes les personnes transgenres, qu'elles aient transitionné ou pas... (contrairement à ce qui a été dit, rien n'indique que ça ne concerne que "ceux qui ont joué à ces petits jeux"
  • Il y est aussi dit qu'un simple changement de transition, tel que l'abandon du deadname, réduit déjà le taux de suicide et d'idées suicidaires
  • Qu'une portion des personnes se suicidant, le font à la suite d'avoir dévoilé à leur entourage qu'elles sont des personnes transgenres... perdre une partie de son entourage, c'est un choc psychologique hyper violent !
  • Une autre partie de ces personnes, qui se suicident, le font par manque d'information sur ce que la transition peut leur apporter, comme aide psychologique
  • Une partie aussi peut se suicider à cause de changements qui ratent (tout comme ça arrive à des personnes cisgenre dont la chirurgie esthétique a foiré, par exemple)
  • Une partie peut se suicide pour avoir été trop loin (là aussi, comme pour des personnes cisgenres)
  • ...


Je n'ai plus les chiffres sous la main, sur le sujet... mais, justement, le taux de suicide est bien moindre post-transition que pre-transition !

Le non-sens de cette loi

Comme mentionné dans plusieurs points précédents, le manque d'informations sur le sujet peut avoir pas mal de conséquences fâcheuses, voire dramatiques.

Ce n'est pas parce qu'une personne est informée qu'elle va aller jusqu'à l'opération, qu'elle va se suicider, ... bien au contraire, pour certaines, ça peut être bien juste se résumer à comprendre ce qui lui arrive et potentiellement juste en avoir un bon accompagnement psychologique l'aidant à mieux s'accepter ainsi, ou ne changer que son deadname, par exemple... ou éviter des drames à cause de mauvais produits, mauvais dosages, ...

Le fait de cacher ces informations, c'est condamner ces personnes à juste en souffrir au moins jusqu'à l'âge adulte, pour avoir enfin le droit de savoir qu'il existe des solutions, qu'elles ne sont pas juste folles, ... mais ça n'en réduit pas la dysphorie, ni les impacts psychologiques permanents pouvant s'être installés en attendant !

Ce genre de solution, ça équivaut à dire à une personne qui a un cancer, qu'on a potentiellement de quoi l'en traiter, si on ne tarde pas trop... laissant ce cancer se développent en attendant un délai arbitraire... avant de le lui dire.

Moralité, avant de critiquer et prendre parti sur un sujet, faites vraiment vos recherches pour savoir de quoi vous parlez, bordel ! si ça reflète votre façon de chercher l'info dans votre métier, j'espère ne jamais tomber sur quoi que ce soit qui ait été codé par vos "soins".

Une des premières qualités requises pour être un.e bon.ne dev, c'est d'être capable de chercher l'information !
6  3 
Avatar de Fagus
Membre expert https://www.developpez.com
Le 06/09/2023 à 12:58
cette loi, c'est comme pour beaucoup d'autres choses une facilité tranchante (sans doute idéologisée) sur un problème complexe qui mérite une prise en charge complexe..

Le minimum ce serait d'avoir une information complète, équilibrée, sourcée, basée sur des consensus des experts du sujet. Chose qu'on ne trouvera pas dans un discours militant dans un sens ou l'autre (notamment une vidéo courte d'un "influenceur" pour faire un cliché).

Donc, il ne faudrait pas interdire, mais réguler l'expression et juger au cas par cas selon le contenu...

Car il y a quand même un enjeu important. On parle de transition idéologique, mais dans le tas, il y a des mineurs qui se font opérer et qui prennent des hormones. Comme vous l'avez dit, ce n'est ni anodin, ni réversible ad integrum, ni sans risque (car tout geste médical ou chirurgical a un risque)

Or, les mineurs sont caractérisés par :
  • leur caractère influençable (qui les rend vulnérables à des groupes d'influence qui ont leur agenda politique)
  • leur manque d'expérience
  • leur développement cérébral incomplet (c'est un fait), qui limite l'inhibition entre autres.

C'est pas pour rien si le concept de mineur existe.

De plus, avoir un trouble de l'identité sexuelle est un phénomène psychologique transitoire banal dans la normale au moment de la puberté. Rien que dans mon entourage, je connais pas mal de filles personnalité "garçon manqué" qui voulaient vraiment être un garçon à cette époque. aujourd'hui ce sont toutes des mères épanouies (et une en couple avec une femme). Je ne dis pas que la dysphorie de genre n'existe pas, juste que chez les enfants c'est assez ordinaire et en général transitoire.

En Suède, ils ont facilité la procédure chez les enfants en pionniers et ont eu une explosion des demandes. Maintenant ils ont quasi interdit la procédure suite au retour d'expérience...
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Avatar de binarygirl
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 08/09/2023 à 22:34
La haine envers les LGBT va généralement de pair avec la haine des étrangers, la haine des autres en général, avec l'extrémisme politique, le complotisme et la malveillance.
Mais je crois que derrière la haine des autres il y a toujours en arrière-plan la haine de soi-même, un manque d'estime personnelle, des frustrations, des échecs personnels qui poussent à l'outrance. Car les gens qui sont bien dans leur peau ne passent pas leur temps à cracher leur bile sur Internet. Ce n'est pas productif et ça ne fait pas avancer dans la vie.

Donc, même si je suis choquée par certaines interventions, j'essaie quand même de me placer du point de vue de l'autre personne car je me dis qu'elle est probablement en souffrance. On peut être gentil, faire preuve de compréhension, dialoguer mais on ne peut pas résoudre les problèmes des autres.

Je pense que la haine devrait être classée dans le DSM comme un trouble mental, et une grande partie de la population s'y retrouverait. Peut-être que ça remettrait les pendules à l'heure, car honnêtement il y a beaucoup de gens cinglés.

C'est vrai ça, pourquoi les frustrés de la vie ne se posent pas de question sur leur santé mentale...
Je connais des trans et ils/elles sont des personnes épanouiEs aujourd'hui, ce qui n'est pas le cas de tout le monde.

A côté de ça, il y a beaucoup de complotistes qui ont déjà quitté le monde réel et sont même en rupture avec la société, mais apparemment le problème majeur de la société c'est les trans ou le voile. Comme toujours, c'est plus facile de s'en prendre à des minorités quand on cherche des boucs émissaires.
4  1 
Avatar de Lcf.vs
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 08/09/2023 à 15:41
Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Mais encourager les jeunes à se faire castrer, c'est normal.
Déjà, par ton fanatisme qui n'en a rien à foutre du bien-être des autres, les seules personnes auxquelles tu fais référence, par cette idée que ce soit encouragé, c'est à d'autres fanatiques... qui ont juste une vision totalement opposée.

Sauf qu'entre ces 2 bandes de fanatiques irréfléchies que vous êtes, il y a de vraies personnes, avec de vraies souffrances ou de vraies compétences pour ne pas encourager le premier crétin venu avec une lubie... mais bien le proposer comme une solution thérapeutique quand il s'avère que c'est un besoin réel pour le bien-être de la personne.

En fait, votre guerre du pour et du contre, on s'en balance, tout comme vous vous en balancez des personnes concernées, tout en prétendant le contraire, juste pour faire de votre gueule.

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Tout comme prétendre que l'on peut redevenir un homme après une telle opération
Aucun homme transgenre ne prétend devenir un homme, aucune femme transgenre ne prétend devenir une femme... ces personnes le sont déjà... les seules personnes prétendant le contraire, ce sont les ignares comme toi, qui n'ont rien compris à rien.

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Si vous cautionnez ce discours et que vous êtes LGBTQ+, vous êtes un malade mental.
Mec, consulte mieux ton DSM, il doit y avoir une volée de chapitres te concernant

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
C'est pour cela que tant de gays ne vous supportent pas
Encore une excellente preuve de ton manque de jugeote : un mec gay est attiré par des hommes... c'est donc un peu logique qu'il n'ait pas d'attirance pour une femme transgenre... et inversement.

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
N'importe quel psychiatre recommanderait effectivement un enfermement sous camisole de force et une psychothérapie de choc.
Pour tenir des propos tels que les tiens ? assurément

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
La dysphorie de genre est une maladie mentale listée dans le DSM-IV
Pour info, le DSM-IV, il a été paru en 2013, donc certainement pas écrit la même année, vu la taille de la brique, déjà... mais, en plus, l'organisation qui le publie, l'APA, a justement tenu à corriger le tir, dès l'année suivante, pour affirmer que CE N'EST PAS UNE MALADIE MENTALE et l'a d'ailleurs déréférencée comme telle dès la version suivante, le DSM-V.

Alors, tout à coup, tes experts que tu considères comme références, auteurs de la V4... ont perdu toute crédibilité à la V5... mais restent toujours crédibles sur leurs propos de la V4 ? y a pas un truc WTF dans ta logique, là, non ?

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Mais en poussant cette idéologie Queer dans la société, on augmente mécaniquement le malêtre, le taux de suicide et les faux diagnostics.
Tiens, marrant, tu parles d'augmentation de faux diagnostics, alors, je ne disconviens pas qu'il puisse y en avoir, tout comme il y a des personnes qui transitionnent en flouant leurs praticiens pour de mauvaises raisons, comme l'auto-objectification, ... mais ton propos-même sous-tend qu'il y a donc de vrais aussi... et c'est justement autant à cause des faux, que des vrais, qu'il faut que les gens soient le mieux informés possible, autant parce que les vrais ont vraiment besoin de ces aides... que les faux devraient être mieux informés sur la connerie qu'ils envisagent de faire... c'est pas en cachant l'info sous le tapis que ça va aider.

qui se soigne spontanément dans 85% des cas, avec une psychothérapie le reste du temps. Sachant que pour l'immense majorité, il ne s'agit pas d'une condition physique mais psychanalytique.
Psychothérapie qui leur évitera les idées suicidaires et le passage au bistouri.

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
le milieu Queer est rempli de malades mentaux.
À lire ton propos, la communauté de devs n'en est pas exempte non-plus, tristement.

Comme si le fait d'avoir des organes génitaux masculin ou féminin était une pathologie. Le seul cancer, c'est le Queer qui attaque le système immunitaire mental,

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Tous les jours, des services logistiques livrent des milliers d'élements reposant sur des algorithmes codés par mes soins, et sans eux vous n'auriez peut-être ni four, ni de machine à laver, ni même surgelés. Certes ce ne sont que quelques dizaines de milliers de lignes parmi des millions, mais si elles vous déplaisent je vous suggère de renoncer à votre confort moderne.
Mais ouiiii, t'es l'auteur de La Création, aussi ?

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
je suis certain que le transgender est incontestablement une pathologie mentale
Mais ta certitude, on s'en bat les flancs, elle ne vaut rien x)

Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Je vous suggère aussi d'éviter d'écrire en rouge gras, comme si vos interlocuteurs étaient des illettrés et que seul vous aviez reçu la révélation
Non, pas illettré, juste ignare et fanatique...

Et, c'est pas que j'aie reçu la révélation, c'est plutôt que je suis personnellement concernée par le sujet, étant dans le cas et que, depuis ma toute petite enfance, c'est qqch qui m'a toujours hantée et qui a été très ressenti par les personnes avec qui j'ai été en couple, bien que personne ne m'ait ni encouragée, ni soutenue, ni informée sur le sujet.. et, pourtant, justement, j'suis pas fanatique, j'encourage personne, bien au contraire.

Alors, t'as pitêt vaguement lu sur le sujet... mais, moi, c'est toute ma vie, que je l'ai ressenti/subi... et 1/4 de siècle que j'me documente réellement dessus, à sacrément en soupeser tous les tenants et aboutissants, avant d'enfin transitionner, il y a un peu plus d'un an... et, comme je l'évoquais, toutes les personnes transgenres ne vont pas jusqu'à l'opération... pour preuve, dans mon cas, ça n'a même jamais été une option que j'ai souhaitée.

DANS TOUS LES CAS, QUOI QUE TU EN PENSES, CE N'EST PAS À TOI DE DÉCIDER POUR LE BIEN-ÊTRE DES AUTRES et encore heureux... j'voudrais pas voir ce que donnerait une société où tout le monde devrait être comme toi, parce que tu l'as décidé, ayant subi une ablation cérébrale.
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Avatar de Lcf.vs
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 08/09/2023 à 20:42
@ddoumeche Allez, j'reviens de façon un peu plus amicale, parce que tes propos font écho d'un énorme amalgame : il n'y a aucun rapport entre le sexe et le genre, si ce n'est justement, qu'erronément, on t'assigne un genre par défaut, dès la naissance, sur base de ton sexe.

Du coup, en effet, plein de personnes transgenres n'iront pas jusqu'à une opération... si ça ne leur est pas nécessaire... d'ailleurs, c'est la nuance entre une personne transsexuelle et une personne transgenre.

Donc, ce serait une erreur que de priver les gens de l'information leur permettant de définir leur genre, parce qu'en fait, personne n'est mieux placé que soi-même pour le savoir/définir... juste parce que certain.e.s s'en "mutilent", comme tu dis ? (Au passage, quand on parle de mutilation chez les personnes transgenres, il ne s'agit pas forcément de mutilations du sexe, hein... mais bien de mutilations diverses comme ça se retrouve chez pas mal d'ados en mal-être... il y a juste qu'un.e ado transgenre n'ayant pu transitionner est quasi d'office en mal-être, ce qui en fait donc logiquement exploser les statistiques, c'est une évidence).

Pour ma part, je suis une nana transgenre super atypique... je ne rentre dans aucun cliché, je ne suis pas maniérée, je ne suis pas "refaite", je ne surjoue en rien, pas de voix travaillée, très peu de maquillage, à peine un coup de crayon aux yeux... alors, oui, j'porte des tenues un peu plus dites "féminines" mais, pour moi, c'est juste mon style, les fringues n'ont pas de genre et, d'ailleurs, le maquillage, comme les apparats vestimentaires, plein sont passés d'un genre à un autre durant l'histoire de l'humanité.

Il y a juste que, oui, les gens qui me connaissent au moins un peu (ou même les nanas en soirées), à part les rares personnes faisant un vrai blocage, tout le monde est assez unanime : on ressent vite que, malgré les apparences physiques, je suis une femme, quand on en ressent pas carrément mon orientation lesbienne.

Comme tu vois, j'pense qu'on est super loin de tes revendications ou celles de ces partisans de la loi voulant bloquer l'accès à l'information qui a pu m'aider à me définir, à voir ce qui était pour moi un besoin ou non, ... et même si on était en plein dedans malgré tout, ce n'est pas aux gens qui poussent VERS ou dans le SENS OPPOSÉ d'en décider pour les personnes concernées, c'est un véritable travail d'analyse et d'accompagnement psy minutieux qui peut réellement aider la personne à définir ce qu'il y a lieu de faire pour son réel besoin... en espérant juste tomber sur un psy arrivant à être réellement impartial... parce que les psys sont des humains aussi et certain.e.s ne sont pas QUE motivé.e.s par les besoins de leurs patient.e.s.

À mes yeux, le militantisme LGBTQIA+ n'a qu'une raison d'être : veiller à ce qu'on préserve nos droits, à avoir le meilleur accompagnement possible et, justement, à ce que l'accès à l'information soit protégé pour être disponible pour tou.te.s... osef de l'âge, on ne fait parler que de genre, là.

Je pense même que tu seras d'accord avec moi sur une autre évidence : que tu sois une personne transgenre ou non, qu'il y ait une conscientisation des autres genres et/ou qu'ils ne sont pas liés au sexe... dès ton plus jeune âge, on te pousse déjà à te conformer à un genre, pendant que tu définis ta propre identité, celui assigné par défaut... même si ce n'est pas celui qui te correspond ! Pourquoi serait-il plus logique que tu doives te conformer à l'un, plutôt qu'à un autre ?

La "théorie du genre" n'a pas pour but de te faire en changer... elle a pour but de t'aider à mieux te connaître, te comprendre, toi-même... y compris, d'ailleurs, même si c'est pour simplement confirmer que t'es bien du genre assigné par défaut. Et cette théorie aide aussi les personnes au genre fluide à se définir... pourtant, de toutes ces personnes fluides, je n'en connais aucune étant allée jusqu'à des hormones ou opérations.

Bref, j'pense comprendre ta véhémence, sincèrement... elle est à orienter que contre la minorité de personnes qui ne cherchent pas le bien-être des personnes transgenres... pas contre les personnes transgenres, ni contre leurs véritables alliés.

C'est comme dans tout mouvement, il y a un fanatisme irréfléchi pour, un fanatisme irréfléchi contre... mais ils mènent une guerre entre eux qui ne concernent même pas réellement les gens qui justifient que cette cause existe, ils en font plutôt des victimes qui n'ont rien demandé de ce genre... tenant plus de l'extrémisme qu'autre chose.
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Avatar de binarygirl
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 12/09/2023 à 22:35
Comme vous le voyez, il y a au moins une personne qui s'identifie comme trans qui lit le forum, et probablement qu'il y en a davantage.
Mettez-vous à sa place un instant. Vos commentaires ainsi que ceux de vos adeptes ont un effet repoussoir, donnent l'impression d'une communauté toxique où les minorités ne sont pas les bienvenues. En plus, vous ressassez des préjugés et étalez votre ignorance, c'est alors difficile d'avoir un débat intelligent quand le contradicteur met la barre très bas...
Vous n'imaginez même pas que vous avez une attitude sectaire en plus d'être intolérante. Car le concept du "vivre ensemble", c'est-à-dire du respect, est probablement quelque chose de trop abstrait pour vous. Je n'ose pas imaginer à quoi ressemblerait la société française si tout le monde pensait comme vous.

Après, chaque forum a ses trolls...

Et puis, il n'y a pas de raison que les minorités restent silencieuses et encaissent les insultes (et les coups) sans broncher. Au contraire, il faut être intraitable sur certaines questions comme l'égalité des droits et le respect des individus, il ne faut pas hésiter à faire du bruit et déranger les consciences car c'est le seul moyen de faire évoluer une société.
Ceux qui trouvent que la société est trop "woke" auront toujours des options, comme aller vivre en Hongrie, en Russie ou en Ouganda
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Avatar de Christian_B
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 01/08/2023 à 20:15
"crise de santé mentale qui frappe les jeunes dans le pays" Qui dit ça ? À propos de quoi ?
Pour moi il y a "une crise de la santé mentale aux États-Unis" depuis toujours qui touche bien des gens (par exemple les promoteurs de ces projets).
Ce qui m'étonne (pour les E-U.) c'est que sont indiqués "des contenus qui glorifient les troubles de l'alimentation, les pensées suicidaires, la toxicomanie et les jeux d'argent". Uniquement ? Ça m'étonnerait.

Évidemment cela entraînerait des restrictions draconiennes et espionnages pour tout le monde (faudra-t-il envoyer un scan de sa carte d'identité ?).
Pour les thèmes ci-dessus ce ne serait pas encore trop dramatique, quoique sujet à de nombreuses aberrations. L'article explique bien ça.

Mais en fait c'est beaucoup plus large (réseaux sociaux). Cela paraît aussi irréaliste que tyrannique, style "1984" d'Orwell eou "La zone du dehors" de Damasio". (←Cf. Foucault).
Vu d'ici, si ça pouvait porter un coup à la quasi-hégémonie des États-Unis sur certaines activités d'internet ...

Bizarrement la sexualité n'est pas citée, quoique pierre-y ait lu entre les lignes. Il pourrait devenir plus difficile de chercher des photos de Marilyn Monroe par exemple ou des !
Toutefois je trouve discutable d'y mêler la question de l'éducation sexuelle.!

Par contre je ne suis pas surpris que la violence même extrême (images crues de la guerre, etc) ne soit pas citée.

P-S : ait trouvé ici une émoticône potentiellement suspecte :
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Avatar de Lcf.vs
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 13/09/2023 à 0:04
Citation Envoyé par ddoumeche Voir le message
Il ne m'étonne pas que vous prôniez la censure, la suppression des droits civiques
Foutrement un comble, de la part d'un misérable petit dictateur applaudissant une censure telle que celle de cette loi...

Il y a des individus, comme toi, à qui il ne vaut mieux pas suggérer de s'ouvrir aux autres, n'étant faits que d'immondices.

Citation Envoyé par binarygirl Voir le message
Ceux qui trouvent que la société est trop "woke" auront toujours des options, comme aller vivre en Hongrie, en Russie ou en Ouganda
Le plus fou, c'est que j'trouve aussi qu'on verse dans le trop "woke"... du moins, toute la récupération politique, l'exploitation commerciale, etc. à outrance, souvent même au point d'en provoquer une overdose chez plein de gens... et qui n'a pas réellement pour but que de faire avancer la cause, que d'aider les les personnes concernées, ...

Des fois, c'est même à se demander si une partie, tout en se faisant passer pour des alliés, ne serait pas poussée volontairement dans ce but de polarisation, de donner du grain à moudre aux simples d'esprits tournant le tout à l'extrémisme, ...
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